Il marchait au milieux des dunes, la nuit était tombée sur les plages d'Okinawa. Le ciel emplie d'étoiles était signe de promesse à venir. Il surveillait les astres le visage levé. Ses yeux emplis d'innocence, ne voyait pas encore ce que le destin lui réservait.
A l'aube de ses 19 ans, Yuki était l'étudient japonais bien sous tout rapport. Intelligent -peu être trop-, curieux du monde qui l'entourait, un famille aimante...
Il ne soupçonnait pas que cette nuit allait changer ça vie à jamais.
Alors que la voix lactée lui offrait un spectacle merveilleux. Un lumière étrange traversa le ciel. Tel un faucon elle filait de plus en plus vite vers sa proie. Elle se disloqua en une infinité d'éclats dans le ciel.
L'un d'eux, d'une vitesse et d'un brillance insolite se précipitait vers le jeune japonais.
Yuki tel un lapin envoûté par les phares d'un voiture ne bougea pas.
Il resta là, émerveillé par ce spectacle incroyable. Sa vie allait être changée à jamais, le monde ne serait plus le même...mais tout cela n'avait plus d'importance.
L'Éclat percuta Yuki en plein milieux du front. Le jeune homme fût projeté en arrière contre un arbre qui bordait la plage.
Plus un bruit....le silence...la mort?
"Non...juste la Souffrance!"
Une voix venait de résonné dans sa tête. Une voix semblant sortir du fond des âges...
Yuki était étendu inconscient, du sang ruisselait de sont front. Une douleur fulgurante lui vrilla le corps et le réveillât. Chaque fibre de son être était torturé. Et dans son esprit, la même voix l’interpella:
"Nous sommes Givre...Givre de Minuit...nous sommes la souffrance indicible des dieux morts."
"Et toi...qui est tu?"
Yuki ouvrit les yeux, des larmes écarlates coulait sur ses joues. Il se recroquevilla sur lui-même et se prie la tête dans les mains. La douleur était insupportable.
"Arrêtez!!!!!!! Arrêtez ça! Par pitié!" hurla t'il.
"Trop tard...nous sommes liés à présent, et nous serons ton Maître...nous t'apprendrons à subir et à accepter cette souffrance...car tu en serra digne."
Du sang commença a suinter de chaque parcelle de peau du jeune homme imbibant ses vêtements et peu à peu recouvrant tout son corps.
"Lève toi!" lui intima Givre.
Sans même s'en rendre comte, le jeune homme se redressa. Le sang gouttait du bout de ses doigts. Il toucha son visage et senti une surface froide et lisse comme celle d'un masque. Ses lèvres formait un sourire figé. Au centre du masque, là où aurait du se trouver les fentes des yeux, il n'y avait qu'un cercle sanglant.
"Cet endroit n'est pas notre monde...mais cela pourrait bien le devenir" prononça Givre derrière le masque.
"Nous allons te laisser un moment....mais sache...que nous te surveillons."
Le masque se désagrégea, le sang se résorba ne laissant que des vêtement trempé. Yuki tomba à genoux. La douleur avait disparu également. Le vent léger de l'été souffla dans ses cheveux qui avait prie en quelques instants un couleur blond cendré.
Le bruit des vague l'appela. Il se leva et défit sa chemise qu'il laissa derrière lui. Il quitta également ses sandales et marcha vers l'océan.
Les vague lui léchèrent les pieds et il plongea. Oubliant qui il était, d'où il venait, où il irait. Après tous, cela n'avait plus la moindre importance...
A l'aube de ses 19 ans, Yuki était l'étudient japonais bien sous tout rapport. Intelligent -peu être trop-, curieux du monde qui l'entourait, un famille aimante...
Il ne soupçonnait pas que cette nuit allait changer ça vie à jamais.
Alors que la voix lactée lui offrait un spectacle merveilleux. Un lumière étrange traversa le ciel. Tel un faucon elle filait de plus en plus vite vers sa proie. Elle se disloqua en une infinité d'éclats dans le ciel.
L'un d'eux, d'une vitesse et d'un brillance insolite se précipitait vers le jeune japonais.
Yuki tel un lapin envoûté par les phares d'un voiture ne bougea pas.
Il resta là, émerveillé par ce spectacle incroyable. Sa vie allait être changée à jamais, le monde ne serait plus le même...mais tout cela n'avait plus d'importance.
L'Éclat percuta Yuki en plein milieux du front. Le jeune homme fût projeté en arrière contre un arbre qui bordait la plage.
Plus un bruit....le silence...la mort?
"Non...juste la Souffrance!"
Une voix venait de résonné dans sa tête. Une voix semblant sortir du fond des âges...
Yuki était étendu inconscient, du sang ruisselait de sont front. Une douleur fulgurante lui vrilla le corps et le réveillât. Chaque fibre de son être était torturé. Et dans son esprit, la même voix l’interpella:
"Nous sommes Givre...Givre de Minuit...nous sommes la souffrance indicible des dieux morts."
"Et toi...qui est tu?"
Yuki ouvrit les yeux, des larmes écarlates coulait sur ses joues. Il se recroquevilla sur lui-même et se prie la tête dans les mains. La douleur était insupportable.
"Arrêtez!!!!!!! Arrêtez ça! Par pitié!" hurla t'il.
"Trop tard...nous sommes liés à présent, et nous serons ton Maître...nous t'apprendrons à subir et à accepter cette souffrance...car tu en serra digne."
Du sang commença a suinter de chaque parcelle de peau du jeune homme imbibant ses vêtements et peu à peu recouvrant tout son corps.
"Lève toi!" lui intima Givre.
Sans même s'en rendre comte, le jeune homme se redressa. Le sang gouttait du bout de ses doigts. Il toucha son visage et senti une surface froide et lisse comme celle d'un masque. Ses lèvres formait un sourire figé. Au centre du masque, là où aurait du se trouver les fentes des yeux, il n'y avait qu'un cercle sanglant.
"Cet endroit n'est pas notre monde...mais cela pourrait bien le devenir" prononça Givre derrière le masque.
"Nous allons te laisser un moment....mais sache...que nous te surveillons."
Le masque se désagrégea, le sang se résorba ne laissant que des vêtement trempé. Yuki tomba à genoux. La douleur avait disparu également. Le vent léger de l'été souffla dans ses cheveux qui avait prie en quelques instants un couleur blond cendré.
Le bruit des vague l'appela. Il se leva et défit sa chemise qu'il laissa derrière lui. Il quitta également ses sandales et marcha vers l'océan.
Les vague lui léchèrent les pieds et il plongea. Oubliant qui il était, d'où il venait, où il irait. Après tous, cela n'avait plus la moindre importance...